Marque Hugo Boss Serie Hugo Boss HUGO Sous-collection Hugo Boss HUGO Theo NumĂ©ro de modĂšle 50478506-001 EAN 4063534981593 Sexe Hommes Type de portefeuille Portefeuille ZippĂ© Couleur Noir MatĂ©riau Cuir Type de cuir Lamsleer Compartiment transparent Non Garantie 1 an sur erreur de production Chez Brandfield, vous achetez les meilleurs Hugo Boss portefeuilles, comme ce Hugo Boss HUGO Theo Black Ritsportemonnee 50478506-001. Acheter un Hugo Boss portefeuille chez Brandfield est sĂ»r et facile dans notre boutique en ligne. Nous sommes un distributeur officiel Hugo Boss de portefeuilles. Vous bĂ©nĂ©ficiez de la garantie standard de 1 an sur erreur de production. DĂ©couvrez la collection complĂšte de Hugo Boss portefeuilles dans notre boutique en ligne.Ăpropos ThĂ©o et Hugo dans le mĂȘme bateau DRAME Dans un sex-club, les corps de ThĂ©o et de Hugo se rencontrent, se reconnaissent, se mĂȘlent en une Ă©treinte passionnĂ©e. PassĂ© lâemportement du dĂ©sir et lâexaltation de ce premier moment, les deux jeunes hommes dĂ©grisĂ©s, dans les rues vides du Paris nocturne, se confrontent Ă leur amour naissant. 92 %
RĂ©alisation Olivier Ducastel DurĂ©e 1 heure 37 minutes Genre Drame Langue Français 27 April 2016 108 membres Dans un sex-club, les corps de ThĂ©o et de Hugo se rencontrent, se reconnaissent, se mĂȘlent en une Ă©treinte passionnĂ©e. PassĂ© lâemportement du dĂ©sir et lâexaltation de ce premier moment, les deux jeunes hommes dĂ©grisĂ©s, dans les rues vides du Paris nocturne, se confrontent Ă leur amour naissant. Acteurs 16 Films similaires
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SiThĂ©o et Hugo sont dans le mĂȘme bateau amoureux, celui-ci ne vogue pas pour autant dans des eaux perdues, loin de toute humanitĂ©. Toujours, dans les films ÂdâOlivier Ducastel et Jacques ÂMartineau, le monde est prĂ©sent, mĂȘme si leurs hĂ©ros plongent indĂ©finiment leur regard dans celui de lâautre. ThĂ©o et Hugo se parlent de leur
ï»żCinĂ©ma La sensuelle sĂ©quence dâouverture du film de Ducastel et Martineau ne tient pas toutes ses promesses. Reste une promenade entre Strasbourg-Saint-Denis et Stalingrad. Article rĂ©servĂ© aux abonnĂ©s Lâavis du Monde » â pourquoi pas Il est beau, le lancement du bateau de ThĂ©o et Hugo. Câest un de ces vaisseaux nocturnes et parisiens, illuminĂ© de rouge, dans la cale duquel des hommes se retrouvent pour faire lâamour. ThĂ©o Geoffrey CouĂ«t semble un peu intimidĂ©, comme sâil venait lĂ pour la premiĂšre fois ; Hugo François Nambot se meut avec grĂące et assurance. Dans cet intĂ©rieur, entre lupanar et abri antiatomique, quelque part vers Strasbourg-Saint-Denis, ils se caressent, se pĂ©nĂštrent. Olivier Ducastel, Jacques Martineau et le chef opĂ©rateur filment cette sĂ©quence qui paraĂźt trĂšs longue mais dure moins dâune demi-heure, sans simulacre apparent, avec une attention soutenue et complice. Les gestes sont chorĂ©graphiĂ©s, juste assez pour Ă©lever le moment au-dessus de la trivialitĂ©, sans remettre en cause la spontanĂ©itĂ© du geste. Et le moment lui-mĂȘme apparaĂźt ainsi riche de toutes les possibilitĂ©s, quâil reste un instant de grĂące sans suite ou le dĂ©but dâune histoire. Documentaire prophylactique Ce qui vient aprĂšs nâest pas un naufrage, mais câest comme si le paquebot se transformait en canot de sauvetage. Le parti pris est celui du temps rĂ©el », une illusion quâil faut manier avec prudence, tant elle oblige Ă comprimer dans le temps si rapide du cinĂ©ma toute la lenteur du quotidien, fĂ»t-il nocturne. Ducastel et Martineau suivent ThĂ©o et Hugo Ă la sortie de la boĂźte, saisissent les galanteries quâils Ă©changent avant que ne se noue un conflit le premier ne sâest pas protĂ©gĂ©, le second est sĂ©ropositif. Ils suivent un itinĂ©raire flĂ©chĂ© dans lâEst parisien entre canal Saint-Martin et Stalingrad, passant par lâhĂŽpital Saint-Louis oĂč ils mettent en place le palliatif Ă la nĂ©gligence de ThĂ©o. MalgrĂ© lâengagement des deux comĂ©diens, malgrĂ© la complaisance du dĂ©cor, la libertĂ© de la sĂ©quence dâouverture sâest Ă©vaporĂ©e. La visite Ă lâhĂŽpital se voit comme un documentaire prophylactique, les tentatives dâhumour tombent Ă plat. Ce nâest que par instants que ThĂ©o et Hugo retrouvent le sens du danger et lâintensitĂ© qui prĂ©sidĂšrent Ă leur rencontre charnelle. Film français dâOlivier Ducastel et Jacques Martineau avec Geoffrey CouĂ«t et François Nambot 1 h 37. Sur le Web Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil Ă la fois Ce message sâaffichera sur lâautre appareil. DĂ©couvrir les offres multicomptes Parce quâune autre personne ou vous est en train de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil. Vous ne pouvez lire Le Monde que sur un seul appareil Ă la fois ordinateur, tĂ©lĂ©phone ou tablette. Comment ne plus voir ce message ? En cliquant sur » et en vous assurant que vous ĂȘtes la seule personne Ă consulter Le Monde avec ce compte. Que se passera-t-il si vous continuez Ă lire ici ? Ce message sâaffichera sur lâautre appareil. Ce dernier restera connectĂ© avec ce compte. Y a-t-il dâautres limites ? Non. Vous pouvez vous connecter avec votre compte sur autant dâappareils que vous le souhaitez, mais en les utilisant Ă des moments diffĂ©rents. Vous ignorez qui est lâautre personne ? Nous vous conseillons de modifier votre mot de passe.ThĂ©o& Hugo dans le mĂȘme bateau (France 2015), film de Olivier Ducastel, Jacques Martineau avec Geoffrey CouĂ«t, Mario Fanfani, François Nambot, Bastien Gabriel - THĂ©O & HUGO DANS LE MĂȘME BATEAU (Drame) - Cinema, film Ă l'affiche
Naissance de lÂŽamour en temps rĂ©el, par Ducastel et sĂ©quence dâouverture, une vingtaine de minutes dans un sex-club de la capitale française, est impressionnante rien ne nous avait vraiment prĂ©parĂ©s, dans la filmographie dâOlivier Ducastel et Jacques Martineau, Ă une observation aussi crue et juste du sexe entre mecs dans ce quâon appelle familiĂšrement une âboĂźte Ă culâ. DĂ©coupage Ă©nergique, rapports non simulĂ©s, musique tapageuse de Karell & Kuntur et lumiĂšre stroboscopique â tout concourt Ă une exploration rĂ©ussie de ce qui fait, âsouventâ selon le duo de rĂ©alisateurs ainsi quâils lâexpliquent en dossier de presse, la premiĂšre rencontre de deux hommes homosexuels. Câest donc lĂ , dans une caverne de dĂ©bauche et dâĂ©panouissement des corps, quâHugo et ThĂ©o se rencontrent, Ă©treintes passionnĂ©es et coĂŻt fiĂ©vreux aprĂšs quâun regard ardent un eye contact prolongĂ© les a plongĂ©s dans les bras lâun de lâautre. Il est quatre heures du matin, ils nâont âpas bu tant que çaâ ; le club les rejette vingt minutes plus tard sur les trottoirs du 2e arrondissement, il est 4h20 et peut-ĂȘtre lâheure dâapprendre Ă mieux se connaĂźtre, ailleurs. Sauf quâHugo est sĂ©ropositif, et que dans le feu de lâaction, ThĂ©o a oubliĂ© de mettre une capote ; dâoĂč panique â mĂȘme en 2016, le VIH est toujours une rĂ©alitĂ©. Sâensuit une bonne demi-heure de course aux urgences de lâhĂŽpital Saint-Louis, qui fait curieusement ressembler le film Ă un tract Sida Info Services tout y passe, de lâappel au NumĂ©ro Vert dĂ©diĂ© Ă lâexplication minute par minute de lâinfirmiĂšre de garde. Ce nâest pas la partie la plus rĂ©ussie de ThĂ©o & Hugo vont en bateau dont le titre emprunte au CĂ©line et Julie vont en bateau 1974 de Rivette et qui lorgne, pour le cĂŽtĂ© temps rĂ©el, vers le ClĂ©o de 5 Ă 7 1962 de Varda, mĂȘme si la tension est palpable et rappelle lâengagement louable des rĂ©alisateurs pour la lutte contre la maladie on se souvient du joli Jeanne et le garçon formidable en 1998. Ce qui vient ensuite interpelle plus, juste dĂ©ambulation dans les rues de lâEst de Paris qui dresse, lâair de rien, la topographie de la ville dans ce quâelle est aujourdâhui, et telle que les jeunes gens modernes la parcourent du canal Saint-Martin jusquâĂ la place Stalingrad, oĂč lâon sâarrĂȘte prendre un kebab servi par un immigrĂ© syrien qui a un avis sur le conflit en cours dans son pays ; en attendant le premier mĂ©tro, oĂč lâon croise la plus toute jeune femme qui part faire le mĂ©nage dans les hĂŽtels de luxe. Câest le goĂ»t de Ducastel et Martineau pour âle vrai Parisâ et âles vrais Parisiensâ, tels que le sont eux-mĂȘme ThĂ©o et Hugo, bien conscients du fait que, plus tard, ils se sĂ©pareront sans doute mais qui, audacieux, se disent quâune histoire dâamour, pour lâheure, pourrait valoir la peine.
ThĂ©oet Hugo dans le mĂȘme bateau. Un Long-mĂ©trage de Olivier Ducastel, Jacques Martineau. Produit par Ecce Films. Sortie en France : 27/04/2016. Synopsis. Dans un sex-club, les corps de ThĂ©o et de Hugo se rencontrent, se reconnaissent, se mĂȘlent en une Ă©treinte passionnĂ©e. PassĂ© lâemportement du dĂ©sir et lâexaltation de ce premier moment, les deuxAccueil > ThĂ©o et Hugo dans le mĂÂȘme bateau Retour Ă la selection Dans un sex-club, les corps de ThĂ©o et de Hugo se rencontrent, se reconnaissent, se mĂÂȘlent en une Ă©treinte passionnĂ©e. PassĂ© lĂąâŹâąemportement du dĂ©sir et lĂąâŹâąexaltation de ce premier moment, les deux jeunes hommes, dĂ©grisĂ©s, dans les rues vides du Paris nocturne, se confrontent Ă leur amour Olivier Ducastel, avec Geoffrey CouĂt, 1h37, FranceHoraires du 24 au 30 AoĂ»t La vidĂ©o
Interviewwith Olivier Ducastel, Jacques Martineau, Geoffrey Couet and François Nambot about their film "ThĂ©o et Hugo dans le mĂȘme bateau":ThĂ©o and Hugo enco Du cul en premier, du cul et plein de cul ; pour un temps, on se croirait revenu au Rectum dâIrrĂ©versible⊠LumiĂšres bleues et soleils rouges, backrooms et beats hardcore musique ad hoc de Karelle et Kuntur, hommes partout qui rĂŽdent, qui sâempoignent et qui sâimbriquent. Il y a ThĂ©o et Hugo qui baisent parmi eux, et un peu plus en fait. En train de tomber amoureux, mais sans le savoir encore car oui, un coup de foudre est possible mĂȘme au fond dâune cave Ă partouze. ThĂ©o est lĂ , adossĂ© contre un mur en pierres voĂ»tĂ©, il contemple Hugo et il semble Ă©bahi. FragmentĂ©s dâabord, les voilĂ ensemble lâun contre lâautre, puis lâun dans lâautre au milieu des rĂąles, des Ă©treintes et des saillies, avec seulement leurs baskets aux pieds⊠La scĂšne, longue, sensuelle et magnifique, sublime la valse brutale des corps et des dĂ©sirs, et plus tard celle, intime, des regards qui se croisent, de ceux qui se sont trouvĂ©s⊠Et puis crispation soudain, crispation dĂšs les premiers mots Ă©changĂ©s, dĂšs que ThĂ©o et Hugo se retrouvent dehors et revĂȘtus, la nuit dans Paris solitaire, Paris jâai pas sommeil, Paris tout chaud, et puis se parlent. Tristesse alors, ĂŽ tristesse que dâouvrir le film par une incroyable sĂ©quence de vingt minutes, affolante et coite et moite, pour venir ensuite compromettre le film par des dialogues empreints, le plus souvent, dâune banalitĂ© dĂ©sarmante et que les deux comĂ©diens, Geoffrey CouĂ«t et François Nambot, ont bien du mal Ă soutenir malgrĂ© leur absolu dĂ©vouement. Beaucoup ont louĂ© le cĂŽtĂ© volontairement naĂŻf de la chose on cite volontiers Jacques Demy pour justifier ça, quel malheurâŠ, sauf que cette supposĂ©e naĂŻvetĂ©, lourde dans les Ă©changes et pour lâensemble du film, rĂ©siste mal Ă la magie insouciante et enchanteresse du rĂ©alisateur nantais en tout cas jusquâĂ Une chambre en ville. Ici tout paraĂźt plus affectĂ©, plus signifiant. Et plus didactique aussi dans cette rĂ©alitĂ© du Sida lĂ et toujours lĂ , et mĂȘme si on nâen parle moins, et mĂȘme si on nâen parle plus entravant la relation de ThĂ©o et Hugo, ramenĂ©e pourtant Ă une quinzaine de minutes aux allures de campagne de prĂ©vention sur le traitement dâurgence en cas de rapport Ă risques, ou un court-mĂ©trage dĂ©modĂ©, ressorti des vieux cartons de 3 000 scĂ©narios contre un virus ou Lâamour est Ă rĂ©inventer. Ou mĂȘme une espĂšce de mode dâemploi exhaustif on a le droit aux effets secondaires et Ă chaque pilule avalĂ©e, du dĂ©lire⊠rajoutĂ© lĂ pour faire acte de charitĂ©, dâon ne sait quelle bonne volontĂ©. Dâailleurs on nâen parlera plus vraiment aprĂšs, affaire quasi rĂ©glĂ©e, une pĂ©ripĂ©tie en moins dans le parcours amoureux des deux amants qui se promettent de vivre ensemble pour les vingt prochaines annĂ©es⊠Et le film de vouloir traiter certains sujets dâactualitĂ© dits "socio-sensibles" de cette mĂȘme façon, bĂ©ate et gauche les femmes qui travaillent la nuit, ThĂ©o qui rumine son possible engagement humanitaire, un Syrien qui parle de son pays dâavant la scĂšne est dâun amateurisme presque gĂȘnant, une parisienne des gens et de sa retraite⊠Olivier Ducastel et Jacques Martineau veulent dire des choses de notre sociĂ©tĂ© et de notre quotidien, mais trop vite, grossiĂšrement, maladroitement, et confronter ces choses Ă la nouveautĂ©, Ă la fĂ©brilitĂ© de la rencontre. Il fallait, au contraire, faire fi des jolis discours et inscrire les deux amants dans un autre espace-temps, celui du sentiment amoureux qui vous laisse dans votre bulle, sur votre petit nuage, loin du monde et des autres Paris nâest pas dĂ©sert pour rien, et qui Ă©chapperait Ă la platitude de belles paroles, exacerbant davantage le romantisme de nâimporte quelle situation, lâaffranchissant de tout sermon. Du romantisme crachĂ© jurĂ© comme une balade en VĂ©libâ, comme un sprint le long du canal Saint-Martin, comme des yeux dans les yeux qui sâĂ©ternisent dans un premier mĂ©tro, et cette fin Ă la OrphĂ©e oĂč tout peut recommencer⊠LĂ tout Ă coup, Ducastel et Martineau visent droit au cĆur, balardent le superflu, Ă©voquent simplement ces petits riens qui font le tout dâun amour naissant qui vous tombe dessus. Olivier Ducastel et Jacques Martineau sur SEUIL CRITIQUES Haut perchĂ©s.Dansce club parisien rĂ©servĂ© aux garçons oĂč tout le monde Ă©volue dans une Ă©galitaire nuditĂ©, le blond ThĂ©o (Geoffrey CouĂ«t) est hypnotisĂ© par Hugo (François Nambot), le brun, en train de faire
Synopsis Dans un sex-club, les corps de TheÌo et de Hugo se rencontrent, se reconnaissent, se meÌlent en une eÌtreinte passionneÌe. PasseÌ lâemportement du deÌsir et lâexaltation de ce premier moment, les deux jeunes hommes deÌgriseÌs, dans les rues vides du Paris nocturne, se confrontent aÌ leur amour 11Production et distribution 4Box Office cumulĂ©Box Office chronologieSorties Ă l'international 6PaysDistributeurAcheteurDate de sortieTitre localDĂ©solĂ©, aucun rĂ©sultat ne correspond Ă votre 11GĂ©nĂ©rique dĂ©taillĂ© 15Mentions techniquesLong-mĂ©trageSous-genres Drame, RomanceLangue de tournage FrançaisAutre pays coproducteur FranceNationalitĂ© 100% français FranceAnnĂ©e de production 2016Sortie en France 27/04/2016Etat d'avancement SortiType de couleurs Couleur
ThĂ©o et Hugo se rencontrent dans un sexclub parisien, une cave oĂč lâon partouze en chaussettes âbasket. LĂ , des hommes se reluquent, se touchent, se sucent et se pĂ©nĂštrent. Mais eux, ThĂ©o et Hugo vont fabriquer de lâamour, ici Ă 4h57, un samedi soir dans un sexclub parisien. Jacques Martineau et Olivier Ducastel, 20 ans aprĂšs Jeanne et le garçon formidable, nous livrent un film dâamour, un film social et un film militant. Rien que ça. ThĂ©o et Hugo vont tomber amoureux en une nuit, en une baise, un en regard. En ouverture, lâune des plus belles scĂšnes de sexe du cinĂ©ma français Ă mon humble avis. Vingt-cinq minutes de sensualitĂ©, de transpiration, de fougue et dâĂ©motion. Oui parce que le plaisir sexuel est une Ă©motion et quâelle est bien communicative, que lâon soit homo, hĂ©tĂ©ro, fille ou garçon. De leur dĂ©sir fou va naĂźtre de lâamour pur. Un coĂŻt subjuguant, un moment prĂ©sent oĂč lâon oublie tout. MĂȘme la capote. Quand le rĂȘve prend le dessus sur le rĂ©el, quand on oublie quâil existe en ce bas monde des putains de maladies qui nous tuent, exactement Ă ce moment prĂ©cis, quand on vogue dans les cieux extatiques, la chute peut ĂȘtre violente. La beautĂ© de ce film se joue sur ce moment-lĂ . Quâest-ce qui fait que lâon ne se protĂšge pas toujours alors mĂȘme que lâon connait pertinemment les risques ? Pas de jugement. Pas de moral. Ăa arrive. A tout le monde. A qui la faute ? A celui qui pĂ©nĂštre ? A celui qui nâa rien dit ? Chacun ronge son frein et voudrait bien revenir en arriĂšre, juste Ă cet instant oĂč lâon a dĂ©connectĂ©. Cet abyme, ThĂ©o et Hugo vont le traverser dans le mĂȘme bateau, comme une premiĂšre Ă©preuve Ă leur amour. Le film suit, en temps rĂ©el, leurs pĂ©rĂ©grinations dans un Paris nocturne et dĂ©sert, de lâhĂŽpital Saint-Louis au quai de la villette. Les histoires dâamour commencent mal, parfois. Les deux rĂ©alisateurs nous offrent aussi un film militant et informatif. On pourrait croire Ă une communication pour Sida Info Service, mais la cause est si importante, quâon ne peut que le saluer. Que faire si cela nous arrive ? Appeler le 0800 840 800, aller Ă lâhĂŽpital, prendre le traitement prĂ©ventif, etc. Mais la fiction nâest pas pour autant un prĂ©texte, juste lâoccasion de donner quelques informations. Puisque lâart peut Ă©veiller les consciences, il peut bien conseiller nos Ăąmes Ă©garĂ©es. Ducastel et Martineau nous parle aussi des oubliĂ©s de la nuit, de ceux que lâon ne voit pas et qui triment dans lâombre. La femme de mĂ©nage que lâon croise dans le premier mĂ©tro, le Syrien vendeur de Kebab, ces femmes et ces immigrĂ©s Ă qui on laisse le sale boulot, comme ils disent⊠Paris la nuit nâai pas que festive. Elle est aussi travailleuse, des petites mains qui ont tant de chose Ă dire. Elles racontent les petites retraites ou la guerre au pays, mais il y a aussi de la fiertĂ© dans les regards, celle dâĂȘtre debout avant tout le monde et de gagner son pain. ThĂ©o et Hugo les Ă©coutent en voguant Ă leur amour naissant. Si la mort doit les rattraper, il faut courir vite. Comment est-ce possible que cette fougueuse rage de vie soit anĂ©antie par un si beau moment de sexe. La vie serait-elle Ă ce point perfide ? Oui. En 2016, le Sida est encore lĂ et il se transmet mĂȘme quand le sexe est amour.
Dansle Nordeste brĂ©silien, berceau de cette danse traditionnelle, la pluie est particuliĂšrement attendue, et câest la fĂȘte quand elle finit par arriver. EspĂ©rons tout de mĂȘme quâelle se fasse discrĂšte pendant les Samedis de lâEthno ForrĂł na chuva fera de vous de petites tornades sur pattes et viendra vous rincer les oreilles. + stage de forrĂł avant le concert. - Jean LucFilm ComĂ©die sentimentale, France, 2016, 1h37Moins de 16 ansVFHDDĂšs qu'il voit Hugo un soir trĂšs tard dans un sex-club, ThĂ©o est subjugĂ©. Leurs deux corps finissent par se rencontrer dans une Ă©treinte passionnĂ©e. Les deux jeunes hommes partent ensemble et se mettent Ă dĂ©ambuler dans la nuit. Hugo, sĂ©ropositif en traitement depuis longtemps, rĂ©alise que ThĂ©o n'a pas utilisĂ© de prĂ©servatif...Critiques presseEntre 5 et 7 heures du matin, ils se rencontrent, s'aiment. Un superbe exercice de mise en scĂšne, un regard franc et gĂ©nĂ©reux sur l'amour gay. Continuer la navigation pour parcourir la derniĂšre catĂ©gorieContinuer la navigation pour parcourir la derniĂšre catĂ©gorie ThĂ©ohugo dans le mĂȘme bateau & ECCE FILMS prĂ©sente Distribution France Ă©PICENTRE FILMS / Daniel CHAbANNES 55, rue de la Mare 75020 Paris 01 43 49 03 03 / info@epicentreïŹ France karine DURANCE 06 10 75 73 74 durancekarine@yahoo.fr MatĂ©riel presse disponible sur WWW.EPICENTREFILMS.COM. SYNOPSIS Dans un sex-club, les corps de ThĂ©o Dwyane Wade et sa femme Gabrielle Union ont pour habitude de partager certaines photos assez osĂ©es sur les rĂ©seaux sociaux, pour le plus grand plaisir de leurs nombreux abonnĂ©s. Mais pendant leurs derniĂšres vacances, ils viennent peut-ĂȘtre de franchir la ligne rouge⊠Dwyane Wade nâest plus en NBA depuis un certain temps, mais il continue de faire les gros titres rĂ©guliĂšrement, câest aussi ça ĂȘtre une lĂ©gende. Sâil ne fait pas parler pour ses exploits sur le terrain, câest dĂ©sormais sa vie qui passionne les fans, lui qui est dĂ©sormais dirigeant au Jazz dâUtah et influenceur Ă ses heures perdues. Il retrouve clairement une seconde jeunesse sur Instagram, aux cĂŽtĂ©s de sa femme Gabrielle Union. Le couple vedette partage ses vacances aux quatre coins du monde, des moments de vie en famille avec Zaire, Zaya, ou la petite derniĂšre Kaavia, et surtout quelques moments intimes, comme lors de leur rĂ©cent voyage en Espagne. Ă 40 et 49 ans, Flash et sa compagne sâaiment comme au premier jour, et ils ne devraient pas se quitter avant un bon moment. Dwyane Wade croque » sa femme en vidĂ©o ! Et alors quâils sont plongĂ©s dans un terrible scandale Ă©cologique, puisquâils ne respectent pas du tout les mesures mises en place par le gouverneur de Californie pour lutter contre la terrible sĂ©cheresse qui ravage lâĂ©tat, les tourtereaux ont dĂ©cidĂ© de partager une vidĂ©o particuliĂšrement osĂ©e sur les rĂ©seaux. On y voit clairement Dwyane Wade croquer le postĂ©rieur de sa femme⊠Dwyane Wade??? đłđłđł Camisa 23 NBA camisa_23 August 23, 2022 Pour une raison que tout le monde ignore, et mĂȘme lui sans doute, Dwyane Wade a dĂ©cidĂ© de mordre les fesses de Gabrielle Union alors quâelle enregistrait une vidĂ©o pour ses rĂ©seaux. LâincomprĂ©hension est totale chez les internautes, mĂȘme sâils nâont pas vraiment Ă©tĂ© choquĂ©s par la sĂ©quence. Pour certains, câest simplement reprĂ©sentatif des anciens joueurs NBA. Retired players are always wildâ đđźđ»đ°đČ đđđżđđ dhiiist August 24, 2022 Les joueurs retraitĂ©s sont fous Dwyane Wade et Gabrielle Union aiment partager avec leurs fans, mais ils commencent peut-ĂȘtre Ă partager un peu trop⊠Les internautes se seraient sans doute bien passĂ©s de cette sĂ©quence pour le moins intime entre les deux amoureux.
Regardezdes bandes-annonces, lisez les avis dâautres utilisateurs et de la critique, et achetez ThĂ©o et Hugo dans le mĂȘme bateau pour 9,99 âŹ.Ballet des corpsDerriĂšre un titre affichant des faux airs de comptine, le nouveau film dâOlivier Ducastel et Jacques Martineau sâexhibe pourtant dâentrĂ©e de jeu dans une cruditĂ© la plus totale, par une sĂ©quence dâouverture Ă la fois dĂ©stabilisante et envoĂ»tante. Dans un sex-club, les corps de ThĂ©o et Hugo se remarquent, se dĂ©sirent, se tournent autour et finissent par cĂ©der Ă une pulsion de lâinstant, fiĂ©vreuse et intense. Cette longue scĂšne de sexe, dâune durĂ©e de vingt minutes, introduit le spectateur au cĆur dâune ambivalence qui exprime dâemblĂ©e certains enjeux du film, Ă la fois esthĂ©tiques et narratifs. Dans la cruditĂ© de ce quâelle livre Ă la perception du spectateur â la pĂ©nombre rougeĂątre des backrooms permettant ici de ne pas tout montrer â cette sĂ©quence de sexe non simulĂ©e parvient Ă recrĂ©er un espace et une atmosphĂšre dâintimitĂ©, dans un champ filmique baignĂ© pourtant par la nuditĂ© des partenaires. Sur fond dâune musique Ă©lectro entraĂźnante, les corps de ThĂ©o et Hugo inscrivent leur rencontre dans une temporalitĂ© en quelque sorte dĂ©rĂ©glĂ©e, qui sâexprimera pleinement dans un fragment fantasmĂ©, aux allures presque kitsch, digne dâune toile de Pierre et Gilles. Un simple Ă©change de regards entre les deux hommes suffit alors pour suspendre pendant quelques minutes le temps de la narration, et mieux isoler et extirper leurs corps de cette chorĂ©graphie nocturneLâhabilitĂ© du film consiste alors Ă faire de cet apparent dĂ©rĂšglement de la rencontre une vĂ©ritable richesse narrative. Que reste-t-il Ă dĂ©couvrir de lâautre lorsque lâon vient de cĂ©der au dĂ©sir de lâinstant ? Le dĂ©sir amoureux garde-t-il des conditions de possibilitĂ© dâĂ©mergence ? Une perspective que semble tout de suite menacer la crainte de la transmission du VIH, car si Hugo fait rapidement lâaveu Ă ThĂ©o â de maniĂšre dĂ©tournĂ©e â de sa sĂ©ropositivitĂ©, lâimmĂ©diatetĂ© du dĂ©sir a dĂ©jĂ fait baisser la garde des deux hommes. La temporalitĂ© du film semble alors subir elle aussi de plein fouet et par ricochet cet aveu dâHugo, et fait coĂŻncider le temps rĂ©el avec le temps du rĂ©cit. Alors que la rencontre entre les deux hommes a lieu vers 4h30 du matin, nous les quitterons vers 6h, dans un Paris qui sâĂ©veille au moment du premier utilisation du temps rĂ©el Ă©vite la revendication de lâexercice de style a contrario, par exemple, de Victoria de Sebastian Schipper, autre film noctambule pour mieux Ă©pouser la temporalitĂ© propre aux personnages et leur permettre de jongler entre lâurgence de trouver un traitement de post-exposition au virus, et lâirrĂ©sistible envie de dĂ©couvrir lâautre. Impossible Ă©galement, pendant ces 90 minutes, de ne pas penser Ă lâangoisse que vit ClĂ©o de 5 Ă 7, dans le film dâAgnĂšs Varda, dans lequel le temps rĂ©el se confondait avec lâattente de la rĂ©ponse mĂ©dicale. Le temps rĂ©el devient ici celui de la dĂ©ambulation de ThĂ©o et Hugo, du quartier de SĂ©bastopol jusquâĂ Stalingrad et Anvers, et permet aux rĂ©alisateurs dâexplorer un Paris presque vide, marginal, qui laisse un champ filmique aussi vaste que du cadreLa dĂ©ambulation nocturne des personnages se transforme ainsi en une ballade improvisĂ©e, modelĂ©e par les alĂ©as des discussions auxquelles se livrent les deux hommes, entre le dĂ©voilement de soi et des instants, imprĂ©visibles, de rupture et de fermeture Ă lâautre. Un brin littĂ©raires, les rĂ©pliques du film deviennent les symptĂŽmes de ce jeu de sĂ©duction, et portent en elles les cheminements intĂ©rieurs et spontanĂ©s des deux hommes. Câest comme si nous avions fabriquĂ© de lâamour » fait par exemple remarquer Hugo Ă la sortie du club. Câest peut-ĂȘtre ce mĂȘme jeu de langage qui impose au film, comme malgrĂ© lui, une filiation avec certains archĂ©types cinĂ©matographiques de la Nouvelle Vague » le cadre filmique devient un espace de crĂ©ation, un cadre mouvant, comme sâil obĂ©issait entiĂšrement Ă la trajectoire improvisĂ©e des deux hommes. Ă ce titre, cette nouvelle rĂ©alisation rappelle Ă©galement quelques instants de marche nocturne de Jean et Lara dans Les Nuits fauves, non tant dans le croisement thĂ©matique de la maladie que dans la mise en situation de personnages rĂ©els comme dans le film de Cyril Collard, le mĂ©decin interprĂšte ici son propre rĂŽle. Ou encore lors de cette sĂ©quence matinale de mĂ©tro parisien, durant laquelle les passagers rĂ©els deviennent les figurants dâun cadre filmique qui laisse peut-ĂȘtre esquisser les prĂ©misses dâun rapprochement amoureux. Câest dâailleurs dans cette ambition que se dessine peut-ĂȘtre la plus belle gĂ©nĂ©rositĂ© du film inscrire les personnages dans un cadre filmique en perpĂ©tuel mouvement, grĂące Ă des travellings nocturnes, qui deviennent peut-ĂȘtre les tentatives de ThĂ©o et Hugo pour repousser ensemble les limites psychologiques du cadre dans lequel pourrait les enfermer la maladie. Pouvezvous regarder ThĂ©o et Hugo dans le mĂȘme bateau sur un service de streaming ? Nous comparons Disney+, Netflix et Amazon Prime Video pour vous montrer le meilleur endroit oĂč regarder ThĂ©o et Hugo dans le mĂȘme bateau. Trouvez oĂč regarder votre film prĂ©fĂ©rĂ© ThĂ©o et Hugo dans le mĂȘme bateau aujourdâhui en streaming avec un essai gratuit. Accueil CinĂ©ma ThĂ©o & Hugo dans le mĂȘme bateau, une romance gay dans Paris... ThĂ©o & Hugo dans le mĂȘme bateau, Copyright Ecce Films PassĂ©es les 20 minutes trĂšs explicites et presque brutales, ThĂ©o et Hugo dans le mĂȘme bateau navigue sur les eaux du film dâauteur. Discussions, passion, circonvolutions, les deux hĂ©ros tournent autour de la peur du Sida et de leur quotidien somme toute banal. Si le dĂ©marrage met tout de suite dans le bain, le film se concentre surtout sur une romance gay qui ouvre au monde. Un film touchant et intimiste. ThĂ©o et Hugo frĂ©quentent les back rooms parisiennes sordides, aux Ă©changes immĂ©diats et sans pincettes. Câest pourtant au coeur de cet amas de chair en fusion quâils se rencontrent, dans une fulgurance magnifiĂ©e par le sexe, mais au-delĂ du simple plaisir charnel. Les rĂ©alisateurs insistent sur les regards. Geoffroy CouĂ«t et François Nambot se dĂ©vorent du regard, le crush est palpable. Le reste de lâunivers nâexiste plus, les autres protagonistes de lâorgie sont relĂ©guĂ©s au second plan. La chair ne fait relayer que lâinformation de lâĂ©piderme au coeur, du coeur au cerveau, le reste nâest que philosophie. Câest pourtant dans ce moment hors du temps que le drame survient. Un des deux partenaires est sĂ©ropositif, exposant lâautre aux affres de la maladie, de la trithĂ©rapie, de la diffĂ©rence. Câest sur ces bases bancales que dĂ©bute une histoire dâamour toute en retenue et en confidences. Les deux amants traversent Paris, se frĂŽlant, se fuyant mais se retrouvant toujours, comme deux amants irrĂ©sistiblement attirĂ©s lâun par lâautre. MalgrĂ© la peur de la contamination, malgrĂ© les diffĂ©rences, les deux hommes dĂ©ambulent dans les rues et Ă©changent leurs confidences Ă coeur ouvert, rĂ©vĂ©lant leur soif de lâautre et leur solitude. Ne pas se laisser heurter par un dĂ©but trĂšs cru et frontal. Les hĂ©ros cherchent le contact et lâextase comme des portes de sortie. En se trouvant, ils rentrent dans une nouvelle phase de leur vie, Ă©perdument. Le film est avant tout le rĂ©cit dâune rencontre, dâun coup de foudre entre deux hommes. La nuit est leur tĂ©moin et leur irrĂ©sistible attraction ne pose aucune question, comme une Ă©vidence. Et si le bateau doit voguer sur des eaux troublĂ©es, ils lâacceptent de bon coeur. Olivier Ducastel et Jacques Martineau livrent un opus tour Ă tour brutalement explicite puis magiquement onirique. ThĂ©o et Hugo font partie de cette jeunesse avide dâamour et dâavenir, tout simplement. [vc_text_separator title= »SYNOPSIS ET INFOS » color= »custom » border_width= »5âł accent_color= »1e73be »]Dans un sex-club, les corps de ThĂ©o et de Hugo se rencontrent, se reconnaissent, se mĂȘlent en une Ă©treinte passionnĂ©e. PassĂ© lâemportement du dĂ©sir et lâexaltation de ce premier moment, les deux jeunes hommes, dĂ©grisĂ©s, dans les rues vides du Paris nocturne, se confrontent Ă leur amour naissant. Sortie le 27 avril 2016 DurĂ©e 1h37 RĂ©alisateur Olivier Ducastel, Jacques Martineau Avec Geoffrey CouĂ«t, François Nambot, Mario Fanfani Genre Drame [vc_text_separator title= »BANDE ANNONCE » color= »custom » border_width= »5âł accent_color= »1e73be »] nkudf.