Critiques CinĂ©ma SYNOPSIS Non seulement Batman doit affronter le Pingouin, monstre dotĂ© dâune intelligence Ă toute Ă©preuve, qui sĂšme la terreur mais, plus difficile encore, il doit faire face Ă la sĂ©duction de deux super-femmes, la douce Selina Kyle et la fĂ©line Catwoman qui va lui donner bien du fil a retordre. Si Bruce Wayne apprĂ©cie Selina, Batman nâest pas insensible au charme de Catwoman. En dĂ©pit du triomphe commercial et de lâimpact culturel colossal du premier Batman de 1989, Tim Burton Ă©tait tout sauf enthousiaste pour en rĂ©aliser la suite sâĂ©tant estimĂ© dĂ©possĂ©dĂ© du projet par les dĂ©cisions prises dans son dos par les power players de lâĂ©poque, le duo de producteurs Jon Peters / Peter Gruber. Seul un contrĂŽle total sur le nouveau film garantirait son retour, contrĂŽle quâil obtient sans conditions de la Warner Bros. PremiĂšre victime de cette dĂ©cision le scĂ©nariste de lâoriginal Sam Hamm qui avait dĂ©jĂ rĂ©digĂ© une premiĂšre version de lâhistoire dans la continuitĂ© du film prĂ©cĂ©dent, le choix de Catwoman et du Pingouin comme mĂ©chants Ă©tant dĂ©jĂ arrĂȘtĂ©s depuis longtemps. Son scĂ©nario introduisait le personnage de Robin, poursuivait la romance de Bruce avec Vicki Vale Kim Basinger et ramenait lâhorripilant Alexander Knox Robert Wuhl. Burton souhaitant repartir de zĂ©ro, il fait appel au scĂ©nariste de Fatal Games Heathers Daniel Waters avec qui il va travailler en toute autonomie pour tordre Ă la sauce Burtonesque le canon des comics. Lâhistoire dĂ©bute Ă Gotham par la naissance dâun enfant monstrueusement difforme dans la riche famille Cobblepot Paul Pee Wee Herman » Reubens et Diane Salinger, qui jettent rapidement le bĂ©bĂ© dans son berceau dans la riviĂšre. Trois dĂ©cennies plus tard, lâenfant est devenu le monstrueux Pingouin Danny Devito, qui orchestre une vague de crime depuis son repaire dans les Ă©gouts et finit par former une alliance avec lâhomme dâaffaires corrompu Max Schreck Christopher Walken, qui prĂ©sente le Pingouin comme un candidat Ă la mairie avec son soutien. Pendant ce temps, la secrĂ©taire de Schreck,, Selina Kyle Michelle Pfeiffer, subit une expĂ©rience de mort imminente aux mains de son employeur, mais revient Ă la vie grĂące Ă lâintervention magique dâune coterie de chats. Elle confectionne un costume en cuir-vinyle et assume lâidentitĂ© de Catwoman. Dans la vision de Burton et Waters le Pingouin nâest plus un gangster Ă©loquent obsĂ©dĂ© par les oiseaux et les parapluies mais un un mutant monstrueux abandonnĂ© par ses riches parents dans les Ă©gouts oĂč il a Ă©tĂ© recueilli par une colonie de pingouins et qui prĂ©voit de kidnapper et de tuer tous les fils premiers-nĂ©s de Gotham en les noyant dans des eaux usĂ©es. Catwoman nâest plus une cambrioleuse habile, mais une secrĂ©taire devenue femme fatale aprĂšs avoir Ă©tĂ© poussĂ©e par la fenĂȘtre par son patron misogyne, puis mystiquement ressuscitĂ©e par des chats errants. Alors que dans le premier film, le hĂ©ros maintient une façade de mondain distant dans ses fĂȘtes du manoir Wayne , Returns le dĂ©peint encore plus maussade et renfermĂ©, ruminant dans son bureau vide attendant que le bat-signal sâallume dans le ciel de Gotham. Burton, si il aime la figure de Batman nâa finalement que faire du canon du personnage câest ainsi que Max Shreck Christopher Walken â nommĂ© dâaprĂšs lâacteur qui a jouĂ© Orlok dans le Nosferatu de Murnau mais clairement inspirĂ© de Donald Trump Ă lâĂ©poque homme dâaffaires new-yorkais trĂšs controversĂ© â un capitaliste vicieux qui veut saigner la ville Ă blanc Ă la fois responsable de lâascension du Pingouin et de la crĂ©ation de Catwoman est de facto le mĂ©chant principal du film sans ĂȘtre issu des comic-books. Batman Returns ne donne jamais lâimpression dâavoir Ă©tĂ© Ă©crit par un comitĂ©, le scĂ©nario de Daniel Waters triste et mĂ©chant est ponctuĂ© de bouffĂ©es dâhumour trĂšs noir qui colle au style de Burton mais apporte Ă©galement un angle politique avec son idĂ©e dâune intrigue autour de la campagne Ă©lectorale du Pingouin. IdĂ©e satirique et presque visionnaire qui imagine quâune crĂ©ature aussi vulgaire que le Pingouin puisse sĂ©duire lâĂ©lectorat mĂȘme si lâidĂ©e quâil doive abandonner ses ambitions parce quâil a Ă©tĂ© filmĂ© en train de dĂ©nigrer sa base semble aujourdâhui dans notre Ăšre post-Trump bien naĂŻve. Il faut attendre plus de treize minutes avant que Michael Keaton nâapparaisse Ă lâĂ©cran dans le rĂŽle titre, sa premiĂšre ligne de dialogue arrive elle aux alentours de dix-sept minutes mais câest bien Keaton lui-mĂȘme qui a cherchĂ© Ă minimiser son dialogue pour faire de son personnage une figure silencieuse. Tim Burton fait une grande place aux origines de ses deux super-vilains, le film est tout autant un Penguin Begins ou un Catwoman Begins quâun Batman Returns mais contrairement au film de 1989 le personnage nâest pas Ă©clipsĂ© par eux, Burton et Keaton travaillent davantage sur Bruce et son alter-ego Ă mesure que le film avance. Batman Returns offre parmi les moments les plus iconiques du personnage Ă lâĂ©cran quand notre hĂ©ros assis au Wayne Manor, dans le noir, seul, se dresse quand il aperçoit le premier Bat-Signal qui se reflĂšte dans son bureau par un systĂšme complexe de loupes. Burton le reprĂ©sente, tout autant que ses adversaires comme un freak plutĂŽt que comme un super-hĂ©ros. Le Pingouin se fait dâailleurs le porte parole du metteur en scĂšne quand il lâaccuse dâĂȘtre un hypocrite Tu es juste jaloux parce que je suis un vrai monstre et que tu dois porter un masque . MalgrĂ© ses tourments Bruce appartient toujours Ă lâĂ©lite de Gotham quâil peut rejoindre Ă loisir en retirant son masque ce qui le rendra toujours diffĂ©rent des crĂ©atures qui hantent les Ă©gouts ou les ruelles de Gotham. Câest dâailleurs un hĂ©ros assez impotent, quand il essaye dâempĂȘcher Selina / Catwoman de tuer Max Shreck et promet de lâemmener en prison, ce dernier les abat tous les deux avec dĂ©sinvolture avant que Selina ne finisse par le tuer. Le Batman de Batman Returns semble ambivalent sur sa propre croisade, lĂ ou le prĂ©cĂ©dent se terminait par la vision majestueuse de sa silhouette protectrice surplombant la citĂ© , ici il nâadresse quasiment pas la parole aux autoritĂ©s incarnĂ©es par le Commissaire Gordon Pat Hingle et semble dĂ©sintĂ©ressĂ© du sort des habitants. Si il est hyper-compĂštent quand il sâagit de tabasser et mĂȘme tuer des hommes de main grimĂ©s en clown il semble beaucoup moins assurĂ© quand il sâagit dâaborder Catwoman, avec ses griefs tout Ă fait comprĂ©hensibles contre la corruption et les hommes qui la mĂšnent. Le film sâachĂšve sur le Bat-Signal, brillant dans la nuit non pas comme une lueur dâespoir mais comme le signe que Batman reviendra encore, probablement tout aussi malheureux et dĂ©pressif. Par rapport aux autres interprĂštes qui lui ont succĂ©dĂ© dans le rĂŽle, le Batman de Michael Keaton est plus stoĂŻque, plus calme, restant souvent immobile sans se livrer Ă beaucoup de combats au corps Ă corps en partie Ă cause dâun costume qui entrave sa mobilitĂ©, costume entiĂšrement repensĂ© par le technicien dâeffets spĂ©ciaux Steve Wang qui rĂ©tabli au passage le bat-emblem classique mais il possĂšde une intensitĂ© sanguine et un regard perçant. Les talents comiques du comĂ©dien de Birdman sont aussi mieux utilisĂ©es ici que dans le film de 1989. Il montre Ă©galement de nouvelles dimensions de la personnalitĂ© publique » Wayne au public loin du playboy Ă©tourdi du prĂ©cĂ©dent, notamment en permettant au spectateur de le voir agir sous couverture » dans la salle du conseil dâadministration face Ă Max Schreck utilisant sa personnalitĂ© de businessman pour dĂ©couvrir de nouvelles informations sur les plans du magnat. Paradoxalement beaucoup de ceux qui sâĂ©taient rĂ©jouis de le voir quitter le rĂŽle aprĂšs ce film se rĂ©jouissent de son retour prochain dans les films The Flash et Batgirl. Danny DeVito qui sâĂ©clate visiblement sous des tonnes de maquillage signĂ© du studio de Stan Winston, dĂ©vorant chaque scĂšne, grinçant de ses dents noirĂątres, fait du Pingouin un monstre sympathique horrible en apparence, grossier et corrompu par nature mais nĂ©anmoins une figure tragique. Oswald Cobblepot reconnaĂźt dâailleurs dans son ennemi jurĂ© une Ăąme sĆur. Nâest il pas une autre version de Wayne difforme, abandonnĂ© au lieu dâĂȘtre orphelin ? Lâautre et authentique mĂ©chant du film Max Schreck est Ă©galement une image dĂ©formĂ©e de Batman â un millionnaire utilisant sa fortune pour nuire aux habitants de Gotham plutĂŽt que de les protĂ©ger. Christopher Walken, -Ă son plus Walkenesque â avec sa perruque grise et son Ă©trange diction imprĂšgne lâodieux Shreck dâune malfaisance théùtrale. Michelle Pfeiffer, qui a dĂ©crochĂ© le rĂŽle aprĂšs le forfait dâAnnette Bening tombĂ©e enceinte peu avant le tournage livre une des grandes performances dâactrice de la dĂ©cennie, dĂ©terminante pour sa carriĂšre dans le rĂŽle de Catwoman, une des plus iconiques des Comic Book Movie . Elle compose une figure inoubliable en talons hauts dans une tenue SM de cuir et de latex naviguant entre lâanti-hĂ©roĂŻne et la mĂ©chante. Elle passe de demoiselle en dĂ©tresse » Ă femme fatale » de maniĂšre si naturelle et avec un tel charisme quâon ne remet jamais question le fait que Batman ait rencontrĂ© son Ă©gal. Elle incarne toute la fureur des femmes maltraitĂ©es, en guerre contre les exploiteurs sexistes de Gotham un message qui nâa rien perdu de sa pertinence . Mais Pfeiffer convoque Ă©galement le dĂ©sespoir dâune vĂ©ritable crise dâidentitĂ© que traverse son personnage. On peut voir quelque chose dâun message message subliminal adressĂ© par Burton Ă la major dans la façon dont Catwoman ravage le grand magasin Shreck qui vend des mensonges commerciaux . Contrairement Ă Bruce Wayne, Selina Kyle trouve une libĂ©ration dans son identitĂ© costumĂ©e et câest ce qui lâattire immĂ©diatement chez elle. A sa maniĂšre, Batman Returns parvient Ă faire passer une vĂ©ritable relation adulte dans un film de super-hĂ©ros aidĂ© par la chimie du couple Keaton/ Pfeiffer. La romance entre Wayne et Selina Kyle â Ă la fois dans et hors de leurs costumes â sâavĂšre Ă©tonnamment poignante, celle de deux amants clairement destinĂ©s Ă ĂȘtre ensemble mais qui ne pourront jamais lâĂȘtre vraiment. Burton y met une touche dâErnst Lubitsch et de screwball comedy les deux personnages dissimulant leur double vie, leurs identitĂ©s secrĂštes et leurs cicatrices lors dâun cĂąlin au coin du feu. Alors que les affiches de Batman Returns laissaient imaginer un combat acharnĂ© entre la chauve-souris, le chat et le pingouin, le film sâavĂšre beaucoup plus sympathique dans sa reprĂ©sentation des trois piliers de DC Comics. Batman Returns sâinscrit parfaitement dans la filmographie de Tim Burton et sa cĂ©lĂ©bration des personnages bizarres et des parias de Pee-wee Herman et Edward Scissorhands Ă Jack Skellington et Ed Wood. Il montre tout autant ce qui unit le trio que ce qui le divise, en particulier le pouvoir quâils trouvent dans leurs identitĂ©s secrĂštes. La tragĂ©die ultime de Batman Returns est que le chevalier noir ne peut finalement sauver aucune de ces Ăąmes solitaires, quand vient le gĂ©nĂ©rique de fin, Bruce retourne Ă son existence solitaire dans ce manoir aux allures de chĂąteau Ă la pĂ©riphĂ©rie de la ville â tel un monstre de la Universal condamnĂ© Ă la solitude. Batman Returns est un des plus grands films de son auteur dĂ©bordant de la grandeur gothique et de la mĂ©lancolie poĂ©tique dâun Tim Burton au sommet de sa phase nĂ©o-gothico-pop. Le film devient un conte de fĂ©es baroque, lorsque la camĂ©ra plonge telle une crĂ©ature de la nuit Ă travers lâarchitecture tordue du zoo de Gotham, il est clair que nous sommes pleinement Ă Burtonville. Burton a travaillĂ© avec son concepteur artistique de Beetlejuice et Edward Scissorhands Bo Welch pour desserrer davantage les liens qui rattachent Gotham City Ă la rĂ©alitĂ©. Au lieu de lâesthĂ©tique art dĂ©co noir de lâoriginal, la Gotham City de Batman Returns est un mĂ©lange fantasmagorique dâexpressionnisme allemand ce nâest pas un hasard si Oswald Cobblepot lorsquâil est habillĂ© de pardessus ressemble au Caligari incarnĂ© par Werner Krauss dans le classique muet de 1920 Le Cabinet du Dr Caligari et dâarchitecture fasciste. Burton rĂ©-imagine Gotham en un un pays fĂ©erique cauchemardesque oĂč mĂȘme le joyeux esprit de NoĂ«l est parasitĂ© par un sentiment de terreur inquiĂ©tante. Les chutes de neige continues contrastent avec les silhouettes sombres des bĂątiments et les ombres des personnages. Les ruelles de Gotham City sont le dĂ©cor principal des duels entre les forces du film, lâabsence de prises de vue extĂ©rieures, le film est ostensiblement tournĂ© en studio donne Ă Batman Returns un sentiment tendu et presque claustrophobe. Ce monde anachronique avec son architecture dâinspiration fasciste qui sâĂ©tend des rues fumantes jusquâĂ un ciel nocturne sans Ă©toiles est libĂ©rĂ© des contraintes du temps. Le Pingouin utilise une plume dâoie pour Ă©crire, Batman stocke ses informations sur compact disc, Batman Returns pourrait ainsi aussi bien se dĂ©rouler aujourdâhui, dans un passĂ© proche ou Ă un moment indĂ©fini dans le futur, le film ne vieillira jamais. Batman Returns aussi sombre quâil soit est finalement plus proche de la sĂ©rie tĂ©lĂ©visĂ©e Batman des annĂ©es 60 que des itĂ©rations ultĂ©rieures de la trilogie de Christopher Nolan et du The Batman de Matt Reeves, le stratagĂšme du Pingouin pour devenir maire est dâailleurs tirĂ© dâun Ă©pisode de la sĂ©rie avec Adam West. La photographie de Stefan Czapsky qui avait signĂ© celle lumineuse de Edward Scissorhands et retrouvera Burton une derniĂšre fois pour le riche Noir & Blanc dâEd Wood est somptueuse, trĂšs contrastĂ©e, rĂ©ussit Ă ĂȘtre tout Ă la fois obscure avec une brillance hollywoodienne. Câest une forme dâinjustice quâil soit dĂ©sormais cantonnĂ© Ă la tĂ©lĂ©vision le revival de The Equalizer sur CBS au regard du talent dĂ©ployĂ© ici. Câest Ă©videmment Danny Elfman, qui signe la bande-originale, libĂ©rĂ© du parasitage dâun album pop parallĂšle comme celui de Prince en 1989, il parvient Ă amĂ©liorer sa composition pourtant iconique du thĂšme de Batman en y ajoutant des chĆurs dâenfants qui font du thĂšme dâouverture Ă la ballade de clĂŽture, de chaque morceau un chant de NoĂ«l infernal, jouĂ© dans un cirque macabre. Alors que le film sort au cĆur de lâĂ©tĂ© Batman Returns se dĂ©roule entiĂšrement pendant la pĂ©riode de NoĂ«l on peut considĂ©rer Max Schrek comme lâarchĂ©type des mĂ©chants des contes de NoĂ«l et le Pingouin comme une version du Grinch mais tous ses Ă©lĂ©ments Ă destination des enfants Batman et ses gadgets, une armĂ©e de pingouins, des clowns sont sapĂ©s par sa tristesse Ă©crasante, une sexualitĂ© implicite et sa compassion pour ses personnages monstrueux. La Warner est sous le choc quand malgrĂ© un timing parfait â le film sort le mĂȘme week-end de fin juin trois ans plus tard que le Batman de 1989, aprĂšs que Burton ait assis entre-temps sa popularitĂ© avec Edward aux mains dâargent -la vision radicale de Burton sur un de ses grands personnages rapporte prĂšs de 100 millions de dollars de moins que son prĂ©dĂ©cesseur. Son partenaire publicitaire McDonaldâs lui demande des comptes Ă propos dâun film qui effraye les enfants le film dĂ©bute avec un bĂ©bĂ© abandonnĂ© dans les Ă©gouts et le plan du Pingouin consiste Ă kidnapper et noyer tous les premiers-nĂ©s de la ville et dont les personnages principaux sont une femme engoncĂ©e dans une tenue S&M et un homme-pingouin faisant de nombreuses insinuations sexuelles tout en vomissant une bile noirĂątre. DĂ©sormais la chaine de restaurants dont Michael Keaton incarnera le fondateur dans âŠLe Fondateur exigera de valider par avance le scĂ©nario des films avant de signer tout partenariat. Batman Returns changera le cours des adaptations cinĂ©matographiques du personnage, Warner prendra une option plus colorĂ©e et Ă destination des enfants avec le Batman Forever de Joel Schumacher avant que les excĂšs de son Batman & Robin ne provoquent Ă leur tour un retour de balancier qui aboutira Ă Batman Begins et ses suites que Christopher Nolan va enraciner dans un esprit de rĂ©alisme qui contraste avec la version onirique et fantaisiste de Burton. Une option qui sâest poursuivie en 2022 avec le The Batman de Matt Reeves. Aucune approche nâest forcĂ©ment la meilleure ou la plus correcte » mais cela dĂ©montre la plasticitĂ© du personnage et sa capacitĂ© remarquable Ă rĂ©sister Ă plusieurs rĂ©initialisations. A ce jour, trente ans aprĂšs sa sortie Batman Returns reste une anomalie dans la franchise, conçu pour sâintĂ©grer dans lâĆuvre de son auteur plutĂŽt que de servir les fans de comics et reste celui qui traite ces personnages abĂźmĂ©s avec le plus dâempathie. En rĂ©interprĂ©tant le monde de Batman sans le fardeau dâune reproduction fidĂšle, libre des attentes de lâindustrie, Tim Burton et son Ă©quipe auront signĂ©s une des Ćuvres les plus originales, canon multimĂ©dia du caped-crusader. Titre Original BATMAN RETURNS RĂ©alisĂ© par Tim Burton Casting Michael Keaton, Michelle Pfeiffer, Danny DeVito ⊠Genre Fantastique, Thriller, Action Sortie le 15 Juillet 1992 DistribuĂ© par Warner Bros. France TOP NIVEAU
Destinéà ĂȘtre tuĂ© lors de sa parution initiale, le Joker a Ă©tĂ© Ă©pargnĂ© par lâintervention Ă©ditoriale, ce qui a permis au personnage de devenir le pire ennemi de Batman. Tout au long de ses apparitions, dont la forme Ă©voluera avec les Ă©poques, le Joker est dĂ©peint comme un personnage trĂšs intelligent, maĂźtre du crime. Qui est le plus fort entre Superman et Shazam ? Le vainqueurCrĂ©dit image Warner Bros. Mais, cet article ne parle pas de qui est le meilleur Batman. Il sâagit du meilleur film Batman, et au moment dâĂ©crire ces lignes, il y a maintenant 11 films dâaction en direct diffĂ©rents dans la saga Batman. Chaque version du croisĂ© capĂ© est unique Ă sa maniĂšre, et chaque film a ses avantages et ses inconvĂ©nients. Pour ĂȘtre juste, il nây a jamais eu de film Batman parfait dans le sens oĂč il a vraiment capturĂ© lâessence du personnage de bande dessinĂ©e, mais certains dâentre eux sont extrĂȘmement proches. Alors, quel est le meilleur film Batman de tous ? Eh bien, vous ĂȘtes sur le point de le dĂ©couvrir. CrĂ©dit image Warner Bros. 11. Batman et Robin 1997 Je vais ĂȘtre honnĂȘte avec vous. Jâaime beaucoup plus Batman & Robin de Joel Schumacher que la plupart des films Batman de cette liste. Mais ce nâest pas parce que câest bon. Non. Batman & Robin est une vraie dinde ! George Clooney joue un Batman idiotâavec une carte de crĂ©dit Bat â et Chris OâDonnell et Alicia Silverstone en tant que Robin et Batgirl, respectivement, sont tout aussi stupides. Mais ce nâest pas forcĂ©ment leur faute ! Le script est ridiculement mauvais, et je le mettrais lĂ -haut avec des films comme Troll 2 et Ssssss. Vous savez, les films sont si mauvais quâils sont bons ! Je suis bien conscient que la plupart des gens nâaiment pas ce film. Ils nâaiment pas Arnold Schwarzenegger en tant que M. Freeze essayant de mettre Gotham sur la glace et lançant des jeux de mots Ă chaque seconde, et ils nâaiment pas Uma Thurman le vampirisant comme Poison Ivy ou lâimposant Bane grognant. Et, trĂšs franchement, je me sens mal pour ces gens. Croyez-moi, je comprends, le film est nul. Mais reste. Batman & Robin est gĂ©nial dans sa connerie. Adoptez le fromage ! CrĂ©dit image Warner Bros. 10. Batman contre Superman Lâaube de la justice 2016 Oh, mon frĂšre. Vous vous souvenez comment jâai dit que jâaimais beaucoup plus Batman & Robin que les autres films de cette liste ? Eh bien, Batman v. Superman lâaube de la justice en fait certainement partie. Ce nâest mĂȘme pas la faute de Batman ! JouĂ© de maniĂšre experte par Ben Affleck, je pense en fait quâil est la meilleure partie de ce film de Zack Snyder, qui oppose Superman Ă Batman⊠et Lex Luthor⊠et Doomsday. En fait, je pense quâAffleck est vraiment gĂ©nial en tant que Batman car il fait preuve Ă la fois de rage dĂ©bridĂ©e et de pathos. Cela dit, je ne supporte tout simplement pas Superman dans ce film, et malheureusement, il reprĂ©sente la moitiĂ© du film. Je ne pense pas non plus que ce soit la faute dâHenry Cavill. Câest juste que je trouve que le Superman dans le Snyderverse est trop maussade. Ajoutez Ă cela tout le non-sens Save Martha », et vous avez un film Batman qui nâest pas si mauvais que câest bon. Câest juste mauvais. Et ce nâest pas bon. CrĂ©dit image Warner Bros 9. Batman pour toujours 1995 Mon bon ami, John, qui a travaillĂ© sur lâillustration de mon livre, mâa dit que je devais revoir Batman Forever. Pas pour lâhistoire ou le jeu, remarquez, mais pour le style visuel. Et, il a raison ! La cinĂ©matographie, rĂ©alisĂ©e par Stephen Goldblatt, est exceptionnelle. Le seul problĂšme ? Le reste du film est nul. Dâaccord, peut-ĂȘtre que suce » nâest pas le bon mot, car il a certainement ses fans. Mais la premiĂšre tentative de Joel Schumacher avec Batman nâĂ©tait pas aussi amusante que sa deuxiĂšme tentative avec Batman & Robin. Si quoi que ce soit, cela ressemble Ă un demi-pas. Dans sa premiĂšre et unique apparition, Val Kilmer nâest pas un terrible Batman. Câest juste que Jim Carrey en tant que The Riddler et Tommy Lee Jones en tant que Two-Face sont insupportables. Surtout Carrey, qui est beaucoup trop caricatural pour le rĂŽle. Jâadore lâacteur, mais sa version de The Riddler est beaucoup plus Frank Gorshin que Paul Dano, ce qui, je suppose, est correct. Ce nâest tout simplement pas pour moi. CrĂ©dit image Warner Bros. 8. Le Chevalier noir se lĂšve 2012 Je pense quâil y a beaucoup Ă aimer dans The Dark Knight Rises de Christopher Nolan. Bane de Tom Hardy est surtout convaincant, et Catwoman dâAnne Hathaway est bonne⊠en thĂ©orie. Le reste du film autour dâeux, cependant, qui prĂ©sente Batman sortant de sa retraite pour combattre Bane, ne leur fait aucune faveur. Pour une fin de trilogie, ça laisse beaucoup Ă dĂ©sirer. Laissez-moi vous expliquer. Jâaime beaucoup les actes un et deux de ce film, mais ce troisiĂšme acte est une vraie puanteur. Nous obtenons un ennemi surprise tardif de Talia al Ghul de Marion Cotillard qui enlĂšve le personnage de Bane. Ensuite, nous obtenons une fausse mort ringard, ainsi que le personnage de Joseph Gordon-Levitt Ă©tant effrontĂ©ment Robin ». En fin de compte, câest juste tout pouah. Câest le meilleur mot que jâai pour ça. Ugh. CrĂ©dit image HBO Max 7. Justice League de Zack Snyder 2021 En fait, je pense que Batfleck est beaucoup plus intĂ©ressant dans Batman contre Superman, mais encore une fois, cet article ne concerne pas le meilleur Batman. Il sâagit des meilleurs films de Batman, et La Justice League de Zack Snyder est dĂ©finitivement un meilleur film que Batman contre Superman. Je peux rĂ©ellement tolĂ©rer celui-ci. Batman est un homme changĂ© suite aux Ă©vĂ©nements de BvS, et il assume le rĂŽle de leader contre un mĂ©chant nommĂ© Steppenwolf, ce qui est intĂ©ressant, car il est le seul Ă ne pas avoir tous les pouvoirs en plus dâĂȘtre riche. Ezra Miller mâagace toujours en tant que The Flash, mais le reste du film autour de lui est bon, et Batman joue un rĂŽle central. Cela fonctionne. CrĂ©dit image Fox 6. Batman le film 1966 Si vous me demandiez qui Ă©tait mon Batman prĂ©fĂ©rĂ©, je dirais Adam West, parce que jâadore le camp. Heureusement, ce film, qui met Ă©galement en vedette Burt Ward, Burgess Meredith, Cesar Romero, Frank Gorshin et Lee Meriwether dans le rĂŽle de Robin, The Penguin, The Joker, The Riddler et Catwoman, respectivement, est aussi campy que possible. JâespĂšre que vous avez apportĂ© votre rĂ©pulsif contre les requins ! Le film ressemble Ă plusieurs Ă©pisodes de la sĂ©rie des annĂ©es 60 assemblĂ©s, et câest une bonne chose. Les mĂ©chants veulent conquĂ©rir le monde, et Batman et Robin vont les arrĂȘter. Intrigue simple et amusement simple. Certains jours, impossible de se dĂ©barrasser dâune bombe ! CrĂ©dit image Warner Bros. 5. Le retour de Batman 1992 Meilleur film de NoĂ«l de tous les temps ? Batman Returns de Tim Burton nâest pas aussi bon que le premier film, mais il prend beaucoup de risques, ce qui en fait Ă©tonnamment lâun des films Batman les plus sombres. Lâintrigue suit The Penguin, jouĂ© par Danny DeVito, et un homme dâaffaires, jouĂ© par Christopher Walken, qui font Ă©quipe pour vaincre Batman. Michelle Pfeiffer sâimplique accidentellement et devient Catwoman. Donc, oui, des trucs de super-hĂ©ros standard. Cependant, câest lâambiance sombre qui brille vraiment. Le Pingouin est Ă la fois monstrueux et pourtant sympathique, et il fait un bon contrepoint au Batman de Michael Keaton. Le pingouin de DeVito semble exagĂ©rĂ©, mais il y a une subtilitĂ© dans le rĂŽle qui est Ă©tonnamment profonde. Un excellent film dans lâensemble avec une excellente ambiance. CrĂ©dit image Warner Bros. 4. Batman commence 2005 Christopher Nolan a inaugurĂ© un Batman trĂšs diffĂ©rent de tout ce que nous avions vu auparavant sur grand Ă©cran. Au lieu des approches de bande dessinĂ©e adoptĂ©es par Tim Burton et Joel Schumacher, Christopher Nolan a optĂ© pour une approche plus rĂ©aliste. Batman Begins voit Bruce Wayne sâentraĂźner en Asie avec des ninjas, puis il en devient un lui-mĂȘme. Christian Bale grogne Ă travers chaque scĂšne de Batman, crĂ©ant une nouvelle version du personnage. Vous savez, la seule chose qui retient vraiment ce film, câest le mĂ©chant. Ne vous mĂ©prenez pas. LâĂ©pouvantail de Cillian Murphy est fantastique. Mais son arc aurait pu ĂȘtre meilleur, et le fait que Raâs al Ghul de Liam Neeson soit le vrai mĂ©chant ressemblait Ă un flic. Câest un excellent film, mais il ressemble dĂ©finitivement Ă un point de dĂ©part. CrĂ©dit image Warner Bros. 3. Le Batman 2022 Une chose que jâai toujours dĂ©testĂ©e dans les diffĂ©rents films de Batman, câest quâaucun dâentre eux nâa vraiment abordĂ© le cĂŽtĂ© dĂ©tective du personnage. Bien sĂ»r, nous avons la version meurtriĂšre de Ben Affleck, le parfait Bruce Wayne de Michael Keaton et le Batman calculĂ© de Christian Bale, mais ce nâest que dans The Batman de Matt Reeve que nous avons vraiment a obtenu la version policiĂšre du personnage avec Robert Pattinson, et câĂ©tait merveilleux. Se dĂ©roulant dans la deuxiĂšme annĂ©e de Batman en tant que combattant du crime, The Batman prĂ©sente nous pour de toutes nouvelles interprĂ©tations de The Riddler une version super creepy interprĂ©tĂ©e par Paul Dano, The Penguin et Catwoman. Mais, nous obtenons Ă©galement de nouvelles interprĂ©tations dâAlfred et de la Batmobile. Tous ensemble, cela crĂ©e un Batman qui semble familier, mais aussi radicalement diffĂ©rent de toutes les meilleures façons. De plus, câest le film Batman le plus Batman » de tous les temps, puisque Robert Pattinson est en costume pendant presque tout le film. Si je nâai quâun seul reproche Ă faire, câest que le film aurait pu ĂȘtre un peu plus court lâĂ©popĂ©e Batman de Matt Reeves a une durĂ©e de deux heures et 55 minutes, mais sinon, câest lâun des plus uniques et des films passionnants mettant en vedette le personnage. Les fans vont adorer ce film pour les annĂ©es Ă venir. CrĂ©dit image Warner Bros. 2. Batman 1989 Tim Burton a mis le feu aux poudres lors de son tout premier essai avec un film de super-hĂ©ros dans Batman en 1989. Michael Keaton est la version live-action prĂ©fĂ©rĂ©e de beaucoup de gens, et il y a une bonne raison Ă cela. Il incarne Ă la fois un Bruce Wayne convaincant et un Batman convaincant. Ensuite, vous avez le Joker de Jack Nicholson. La transformation de Nicholson de Jack Napier au Joker en est une pour les Ăąges. Il se moque de Batman et a lâair de passer un bon moment Ă le faire. Le Joker a Ă©videmment eu beaucoup dâinterprĂ©tations diffĂ©rentes au fil des ans y compris la performance oscarisĂ©e de Joaquin Phoenix, mais Jack Nicholson est lâaction en direct la plus proche des bandes dessinĂ©es auxquelles je peux penser autre que Cesar Romero, et probablement le plus agrĂ©able. Mais ce nâest pas le meilleur⊠CrĂ©dit image Warner Bros. 1. Le Chevalier noir 2008 Certains croient que la seule raison nous avons maintenant 10, plutĂŽt que cinq, possibles nominĂ©s pour le meilleur film, câest parce que The Dark Knight a Ă©tĂ© snobĂ© pour les Oscars 2009, et jâachĂšte ça Ă 100%. The Dark Knight est lâun de ces rares films de bande dessinĂ©e qui transcende le genre et nâest quâun grand film dans lâensemble, un film de bande dessinĂ©e » soit damnĂ©. LâĂ©popĂ©e policiĂšre de Christopher Nolan met en scĂšne un horrible Joker, jouĂ© par Heath Ledger. Son personnage rend Batman de Christian Bale dâautant plus convaincant, car il y a ce grand va-et-vient dâidĂ©aux entre eux, ce qui rend le conflit presque tangible. Les trucs Ă deux visages auraient pu ĂȘtre un peu mieux ou complĂštement laissĂ©s de cĂŽtĂ©, mais vous ne pouvez pas toujours obtenir ce que vous voulez. Cela dit, The Dark Knight nâest pas seulement le plus grand film de Batman de tous les temps, mais beaucoup diraient, le plus grand film de bande dessinĂ©e » de tous les temps, et câest surtout parce quâil se prend au sĂ©rieux et ça marche vraiment. Penses-y. Le premier Iron Man est Ă©galement sorti en 2008. Bien que ce soit dĂ©finitivement un film agrĂ©able, la plupart diront quâaucun des films du MCU nâa jamais Ă©tĂ© Ă la hauteur de The Dark Knight. Câest Ă quel point ce film Ă©tait rĂ©volutionnaire, et lâest toujours, en fait. Et voilĂ la liste. LâhĂ©ritage de Batman et finalement du Joker, puisque les deux personnages sont essentiellement le yin et le yang lâun de lâautre persistera sans aucun doute pendant des annĂ©es et des annĂ©es Ă venir. Mais quel est votre film Batman prĂ©fĂ©rĂ© ? Pour plus de nouvelles sur le Caped Crusader, assurez-vous de passer souvent ici. . scopelecorange avis. anne celle qui assista le diable avant batman. junho 4, 2022 Por Por
Vous ĂȘtes ici Accueil / News / Colin Farrell reprendra le rĂŽle du Pingouin dans la sĂ©rie dĂ©rivĂ©e de HBO Max dĂ©diĂ©e au mĂ©chant BatmanColin Farrell jouera Le pingouin / Oswald Cobblepot dans la sĂ©rie dĂ©rivĂ©e bruyante consacrĂ©e au personnage du film The Batman, tel que rapportĂ© par Variety. Lâacteur apparaĂźtra dans The Batman de Matt Reeves en tant que mĂ©chant de Gotham. Cependant, sa participation en tant que personnage sera prolongĂ©e dans cette nouvelle sĂ©rie pour HBO tĂŽt cet automne, il a Ă©tĂ© signalĂ© que ce spin-off Ă©tait en cours, mais que Farrell nâavait pas officiellement signĂ© pour continuer Ă jouer le mĂ©chant. Apparemment, La sĂ©rie suivra The Penguin dans son ascension dans le monde criminel de Gotham City. Variety a Ă©galement notĂ© que Lauren LeFranc est prĂȘte Ă Ă©crire le scĂ©nario. Le rĂ©alisateur de Batman Matt Reeves et le producteur Dylan Clark seront les producteurs exĂ©cutifs de la vous rappelons que Farrell lui-mĂȘme lâa soulignĂ© Il nâapparaĂźt que dans âcinq ou six scĂšnesâ de The Batman et montra son des doutes sur son rĂŽle pendant le film, louant Matt Reeves en tant que rĂ©alisateur et Robert Pattinson en tant que nouveau que nous nâayons pas encore vu Farrell comme le mĂ©chant emblĂ©matique, il a un Ă©norme sceau dâapprobation. Danny DeVito, qui a jouĂ© le Pingouin dans le film Batman Returns Depuis 1992, il est ravi de voir lâinterprĂ©tation de Farrell sur le personnage âJâadore Colin Farrell. Câest lâun de mes acteurs prĂ©fĂ©rĂ©s. Jâai hĂąte.âLa sĂ©rie Penguin serait le deuxiĂšme spin-off du film The Batman. Nous savons dĂ©jĂ un autre mettant lâaccent sur Gotham Police est en cours de dĂ©veloppement. De plus, lâunivers de Batman a dâautres sĂ©ries en plus de The Batman comme Gotham, qui suit James Gordon dans son ascension dans la police jusquâau personnage que nous connaissons aujourdâhui le commissaire Gordon.
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RĂ©pandez l'amour du partageDanny Devito TailleDanny Devito Taille â Devito Jr. est un acteur, comĂ©dien et cinĂ©aste amĂ©ricain nĂ© en novembre. Pour son interprĂ©tation de Louie De Palma dans la sĂ©rie tĂ©lĂ©visĂ©e Taxi , qui lui a valu un Golden Globe Award et un Emmy Award, il est devenu un nom Reynolds est Frank Reynolds dans la sitcom FX et FXX Il fait toujours beau Ă plus de ses rĂŽles dans Vol au-dessus dâun nid de coucou, Termes dâaffection, Romancing the Stone, Throw Momma from the Train, Twins, The War of the Roses, Batman Returns, Jack the Bear, Junior et Matilda, il est Ă©galement connu pour ses rĂŽles dans Jumanji The Next Level et Jumanji The Legacy of Kahnawake .The Lorax Smallfoot et Hercules lâont tous prĂ©sentĂ© comme doubleur .Il a Ă©tĂ© nominĂ© pour un Tony Award du meilleur acteur dans une piĂšce de théùtre en pour sa performance dans The Price dâArthur Miller Ă Films a Ă©tĂ© fondĂ© par DeVito et Michael Shamberg Ă New York. Stacey Sher est devenue une partenaire Ă©gale peu de temps des films les plus connus de la sociĂ©tĂ© est Pulp Fiction, qui a Ă©tĂ© produit par la 911 !, une Ă©mission Comedy Central produite par Jersey Television de DeVito, Ă©tait une autre production de DeVito. Les acteurs Rhee Perlman et Danny DeVito ont partagĂ© la vedette dans lâadaptation par DeVito en du roman pour enfants Matilda de Roald producteur dâErin Brockovich DeVito a Ă©galement Ă©tĂ© nominĂ© pour lâOscar du meilleur film. Daniel DeVito Sr., propriĂ©taire dâune petite entreprise, et Julia DeVito nĂ©e Moccello Ă©taient les parents de DeVito, nĂ© Ă Neptune Township, New ses parents et ses deux sĆurs aĂźnĂ©es, il a Ă©tĂ© Ă©levĂ© dans une famille de cinq personnes. Il a une ascendance italienne; sa famille est originaire de San Fele, de la Basilicate et de la Calabre. [6] Il est nĂ© et a grandi Ă Asbury Park dans le New a Ă©tĂ© Ă©levĂ© dans une famille catholique. Pour lâempĂȘcher de faire des bĂȘtises, Ă lâĂąge de quatorze ans, il rĂ©ussit Ă persuader son pĂšre de faire frĂ©quenter son fils dans un internat Ă Summit, New Jersey, oĂč il finit par obtenir son diplĂŽme avec mention en de lâOratory Preparatory Academy of Dramatic Arts a Ă©tĂ© le premier endroit oĂč il est allĂ© apprendre le maquillage professionnel tout en travaillant dans le salon de sa sĆur en tant quâesthĂ©ticienne. Il est diplĂŽmĂ© en .Il a commencĂ© sa carriĂšre dans le théùtre en se produisant avec le Colonnades Theatre Lab de Waterford, dans le Connecticut, au Eugene OâNeill Theatre Center. Il est apparu dans des piĂšces du Westbeth Playwrights Feminist Collective avec sa future Ă©pouse Rhea Perlman. Dans Vol au-dessus dâun nid de coucou, DeVito a repris son rĂŽle de Martini, quâil a créé dans la piĂšce off-Broadway du mĂȘme nom. Danny Devito TailleEn plus de son rĂŽle de Vernon Dalhart dans Terms of Endearment et de Ralph dans Romancing the Stone, DeVito est Ă©galement apparu dans The Jewel of the Nile, avec Michael Douglas et Kathleen Turner, et sa suite, The Jewel of the comĂ©die noire Throw Momma from the Train, dans laquelle il a partagĂ© la vedette avec Billy Crystal et Anne Ramsey, a Ă©tĂ© le premier film de DeVito en . En il est apparu dans Ruthless People avec Bette Midler et Judge ans plus tard, il retrouve Douglas et Turner dans The War of the Roses, quâil rĂ©alise et plus, il est apparu dans les films Other Peopleâs Money, Tin Men, Junior and Twins, Junior and Twins, Batman Returns et Matilda, quâil a rĂ©alisĂ© et coproduit, ainsi que dans le rĂŽle du pĂšre de Matilda, le mĂ©chant concessionnaire automobile Harry Wormwood. dans lâadaptation cinĂ©matographique du livre en .DeVito, qui est connu pour ses rĂŽles comiques, sâest diversifiĂ© dans des rĂŽles plus sĂ©rieux en 1997 avec The Rainmaker, co-vedette avec Jack Nicholson dans Hoffa et co-rĂ©alisĂ© avec DeVito dans Confidential, The Big Kahuna et Heist en tant quâennemi jurĂ© de Joe Moore. GĂšne documentaires sont quelque chose qui intĂ©resse DeVito. Avec la sociĂ©tĂ© clickstar de Morgan Freeman en 2006, il a commencĂ© Ă animer la chaĂźne documentaire Jersey Docs. Revenge of the Electric Car prĂ©sente une interview avec lui dans laquelle il discute de son enthousiasme et de sa possession de vĂ©hicules avoir jouĂ© dans une reprise de The Sunshine Boys de Neil Simon avec Richard Griffiths, DeVito a fait ses dĂ©buts dâacteur dans le West End en avril , il a commencĂ© des avant-premiĂšres au Savoy Theatre de Londres, oĂč il est restĂ© jusquâĂ fin en jouant Gregory Solomon dans la reprise Arthur Miller de The Price, DeVito a fait ses dĂ©buts Ă Broadway et a Ă©tĂ© nominĂ© pour un Tony Award. Les reprĂ©sentations prĂ©liminaires ont commencĂ© en fĂ©vrier au American Airlines Theatre, suivies dâune sĂ©rie limitĂ©e commençant le 16 mars et se terminant en est maintenant un producteur de films et de tĂ©lĂ©vision bien connu. The Jersey Films, que DeVito a fondĂ© ena produit des films tels que Pulp Fiction, Get Shorty, Erin Brockovich, Gattaca et Garden State pour lequel il a Ă©tĂ© nominĂ© pour un Oscar du meilleur film. En 1 il coproduit et joue dans Man on the Moon, un film sur la vie atypique dâAndy Kaufman, que Jim Carrey a Devito Taille
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